vendredi 24 juillet 2015


Peut être que je n'ai pas su te redonner l'amour qu'il se doit dans cet endroit qu'on appelait "Vie". Peut être que j'ai trop appuyer sur la pédale de la sensation que le dérapage de l'amour nous a abandonné. Peut être que la bière que je voulais partager avec toi ne méritais pas la peine d'être bue. Peut être que le sourire qui devait illuminer ma journée grise brulera la bougie de mon cœur.

J'ai longtemps su que "haïr" me rendrait plus fort! Je n'ai jamais compris que sentir me rendrais plus faible mais encore moins heureux. Je sais que l'amour est fait pour les gens heureux, mais nous on en était pas! On s'est promis de vivre notre propre amour qu'on n'a jamais connu et pourtant on s'en enfouie ! On est peut être bien à se serrer l'un l'autre, mais seulement si on le faisait à deux.

Je n'ai jamais osé perdre mes mots mais face à ton regard je les perds et avec toute l'acceptation que le monde peut m'offrir. Je ne cherche pas le bonheur, loin de là ! je te cherche toi ! Avec tes sourires déplacés dans nos discussions les plus sérieuses. Je cherche un regard qui se perd lorsque je le regard en secret dans le rétroviseur de la voiture qui n'a pas su porter toute la tentation que le Vietnam a offert aux États-Unis.

-Écoute moi ! La vie ne t'offrira pas de cadeau et je ne t'offrirais pas de temps ! Je te veux comme je mendiant qui regarde le Mc Do d'une Paris Hilton, comme Bob Marley devant le joint à la porte de l'enfer, comme Guevara devant un Beretta double chargeur, comme Charlie Hebdo devant le crayon et le papier qui illuminera la satire caricaturale. Alors tu sais quoi? Ferme ta gueule, Rapproche toi, Tiens ma main, Embrasse moi ! Mais surtout apprécie ce que tu es entrain de vivre, ne te prive pas ! Hédonisme : comprends  moi ! fais moi plaisir mais surtout honore ma vie par ta présence.

- Viens je te parle d'un monde qui ne contiendra que des sensations, les nôtres. Un monde où tu pourras chanter à haute voix devant une foule qu'à leur vue les plus grandes armées du monde se prosternent. Un monde où tu souris parce que tu es libre de tout fardeau ! Un monde où tu n'auras des yeux que pour moi !

- Laisse moi t'appeler Héra parce que ce que je porterais en moi pour toi aura comme limites les cieux. Laisse moi t'appeler Nyx parce que tu seras ma divinité de la nuit. Laisse moi t'appeler Athéna parce que jusqu'à présent tu es la seule qui à su éveiller mon intelligence.

-  Tu ne veux pas d'un Clyméne? Tu seras ma petite gloire à moi! Tu ne veux pas d'un Achile? Tu es ma petite guerre à moi ! Un Eaque ne te branche pas?  Je reviendrais de chez les morts pour te redonner vie à la fin ! Laisse moi être ton Odin ma petite Valkyrie. Allons au Valhala. Je me suis bien battu récupère mon âme ! J'ai fait ma part des choses.

- Viens je te parle d'une beauté incomprise que la vie à pris plaisir à lui enlever son charme. D'une fille que les malheurs du monde se sont mis à la matraquer d'orchidées. Que les maux lui ont confisqués sa confiance.

-Viens je te parle d'une voiture, d'une musique, d'une plage et des gens qui n'était pas présents. Je te parle d'une marche d'escalier que tu as raté. D'une robe que j'ai adoré et de chaussures dont mes yeux n'ont plus se décollées. D'une cigarette à moitié allumée et d'un verre à moitié vidé. D'un touché mielleux, un sourire coquin, un baiser volé des paroles perdues le tout suivi d'un baiser concret et un retour forcé que je n'ai personnellement pas aimé.

Je ne parle pas de toi dans mon texte parce que tu essaie de te retrouver et dans tout ça je ne suis pas une partie essentiel ! Je suis juste la sensation que tu ne veux pas, l'étrange que tu ne comprends pas, l'amour que tu n'as jamais senti, la séduction à laquelle tu aime jouer mais surtout je suis une personne qui veut vraiment t'aimer.

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Ne fais pas de moi ton ennemi, fais de moi ton combat, Parce que tout simplement je veux qu'on soit ensemble pour le meilleur et pour le pire, mais surtout le pire.

Ode à toi ! Une découverte que je ne comprendrais que dans mes piteux rêves quand Morphée a bien voulu me faire comprendre que je suis un drogué et que ça poudre était un refuge dans lequel je te retrouvais nue sur la mer d'une plage abandonnée par l'humanité.

Personne ne comprend la vie ! mais tout le monde la vit ! autant le faire comme il se doit !

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