mercredi 20 juillet 2016

Fragment de ma mémoire


"Pardonnez-moi mon pere parce que j'ai commis un peché. J'ai aimé une personne plus que je ne vous ai aimé. Et comme dans chaque religion Dieu nous oblige a noys poser des questions. Alors que elle ! Et bien elle m'a obligé de changer de religion"

« Que dis-tu mon fils ? Dieu est grand. Il te pardonnera tout ce que tu as fait. Tu dois juste le faire à coeur découvert et accueille ta rédemption à bras ouverts. Parle moi mon fils. Dis moi ce qui te fais souffrir. »

« Mon père, c'est elle mon péché capital. Mon chemin de perdition et ma foi défaite. Je suis faible mon peur. Et j'ai fait couler toutes les larmes de mon corps, des larmes à l'eau de roses pour écrire les lignes que mon public lira. Vous savez mon père ? Je me suis perdu dans ses folies. Je ne retrouve plus mon chemin de la lumière ébouissante qui transpersera mon cage thoracique telle une flèche des perses contre Leonidas. J'aimais tellement sa petite démarche. Je ne sais même pas pourquoi. Je pense que c'était moi au féminin cette femme. Et je la voyais compléter mon côté macho et homme de caverne. Putain mon père, comment elle était forte cette jeune fille. Pardonnez-moi mon père. Je n'ai pas voulu vous manquer de respect et surtout pas dans la maison de Dieu. Mais je ne peux m'en empêcher. Elle m'a appris à n'aimer qu'elle, ne voir qu'elle et ne croire qu'en elle ».

« Mon fils, le diable te joue de mauvais tours. N'oublie pas mon fils, que les femmes sont le diable. Que quand elle se lève le matin, il sourit en étant sur que plusieurs vont péchés. Ils iront droit en enfer ceux qui ont pris des femmes pour des dieux. ».

« Mais mon père, c'est une déesse. Je vous le promets. Regardez là, elle est sublime, avec sa petite taille et ses 5O kg elle ne fait que rendre son absence encore plus lourde. Mais Tu sais ce que j'aimais entendre de sa voix ? ''Tout ce qui doit t'importer c'est d'être vu par mes yeux''. Le pire dans tout ca, c'est que ça me rendait heureux. J'étais malheureux à l'idée d'être heureux. Parce que je savais que les maux de son départ prendrais formes en mes mots. Je me déteste mon père. Je ne dois pas vivre. À maintes reprises, j'ai essayé de changer de fusil d'épaule. À maintes reprises, elle m'a obligé à cacher mes armes au lieu de la remplacer. Même dieu, n'arrivait plus à prendre forme dans mes pensées à force de trop cogiter. Dieu m'écoute mon père ? Vous pensez qu'il me pardonnerait mes péchés ? Je ne l'ai pas fait exprès, je vous le promets. Cette fille je l'aimais et dans ses yeux je me retrouvé, de sa force je me suis aiguisé et de son départ j'ai pleuré. ».

« Mon fils, c'est le diable. Elle se déguise pour être à l'hauteur de ton amour. Elle se déguise e aiguise sa lame pour transpercer ton petit coeur tendre aussi transparent que l'eau d'une rivière oubliée de la race humaine. Mais Dieu est là pour toi mon fils. Certes, il nous oublie, il nous fait mal, mais lui mon fils il nous aime. Dieu t'aime mon fils. »

«Vous voulez me faire croire que les meurtres, les viols et la haine sont issus du diable? Et ben figurez-vous que je ne crois pas au diable. Je suis le seul fautif et dans ma lassitude j'ai oublié ma pleinitude spirituel. Pardonnez-Moi mon père parce que j'ai péché. J'ai aimé une personne plus que je n'ai aimé Dieu. Et comme dans toutes les religions, Dieu est injuste ».

« Vous auriez tort de ne pas croire au diable mon fils. Parce que lui, il croit en toi. Je crois en toi mon fils ».

« Je ne comprends plus mon père. Mon père ? Répondez-moi. C'est quoi cette voix. Mon père j'ai froid. »

Une petite voix sortie de nul part.

« L'univers à été crée pour être vu par mes yeux petit. Ne l'oublie jamais. Même Dieu ne pourra te protéger de moi. »

samedi 16 juillet 2016

Me, My self And I


Regarde les hommes tombés. Regarde leurs corps éparpillés sur la terre rouge du sang qu'ils ont fait couler. La vie est ainsi. On est naît pour mourir. La seule différence entre moi et toi, c'est que j'ai choisi comment mourir. L'arme à la main, je ferais couler le sang jusqu'à remplir les poches du monde d'argent qui achetera mes armes. Je m'en fous de ce que tu peux penser de moi à présent. Regarde encore les corps que j'ai fait tombés, les âmes que j'ai collecté, et réflechis bien avant de sortir quoi que ce soit de tes lèvres qui puent le mensonges. Fais bien attention à tes mots, si jamais ils m'offrent des maux, ils pourraient être les derniers que tu pronnonceras.

Tu as peur ? Je te comprends. Moi aussi j'étais ce qu'on appelle moilleux, pleurnichard des fois, mais émotif la plus part du temps. Et puis un jour, j'ai eu mal et ma haine a nourrit ma vengeance contre la race humaine. Je déteste les humains. J'aimerais tant les tuer tous et vivre seul sur terre. Je sais que je n'irais pas au Paradis, alors je crée mon paradis terrestre. J'ai commencé comme toute personne ayant cru que l'Homme peut sauver l'Homme de l'Homme. Mais j'ai compris à la fin que pour la survie de la race humaine, tout humain doit mourir. Tu te pose surement la question si je les tues tous, qu'en deviendra-t-il de moi ? Je me donnerais la mort. Regarde cette balle, je la garde spécialement pour moi. Je vais me l'enfoncer dans le coeur avec mon beretta. Je ne vais surement pas me rater. Pourquoi je ne me la tire pas dans la tête ? Parce que je suis une idée et une idée ne meurt jamais. Je préfère tuer mes sentiments que ma connaissance en matière de l'Homme.

Tu te demande comment je suis arrivé là ? Moi qui, à un moment, avais un sourire sur les lèvres ? Moi qui a su tenir la main des gens pour les aider à trouver leurs chemins ? Moi qui a tellement regarder le ciel que j'aurais pu le ramener dans mon lit de force avec mon regard revolver ? Je pense que moi j'ai trop de vécu pour accepter cette soumission aux gens Lamda qui passent dans nos vies. Moi je crie tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Moi, cette calamité divine, je sais me taire quand il s'agissait de parler. Je savais penser quand il s'agisait de parler, moi, moi, moi … Mon égocentrisme me tue là. Ne me parle pas de ma vie, tu ne connais rien de ce que je ressens. De ce que j'ai ressenti oui peut-être vu que c'est toi qui a crée de moi ce que je suis maintenant. La faucheuse, le collecteur des âmes, moi, ce fléau qui est plus dévastateur que Katrina. Je m'aime quand je me vois dans un mirroir, je me sens comme le Tsunami, à un moment que la première vague est partie, on ne que se méfier de la deuxième.

Je sais ce que tu vas me dire. Je ne dis je t'aime que quand j'ai de l'alcool dans le sang. Oui je confirme. Et pourtant je n'aimais pas dévoiler mes sentiments. Tu te demande aussi pourquoi ? Parce que la première fois que ma main a touché une arme, j'ai voulu rire. J'ai vu le psychopathe en moi. Le bipolaire narcissique en moi a retrouvé son esprit quand mon coeur de glace a enfin fondue pour ce beau flingue qui a fait de moi un Oussama Ben Laden. Je pense que je comprends maintenant pourquoi tu me vois de cet œil. L'amour nous adoucit ou nous tue. Et moi l'amour que je portais pour eux a fait de moi un mort qui tire sur tout ce que j'envie. Et moi je les envie les humains pour des parents en vie. Je ne sais plus dans quel état d'âme je suis maintenant mais tu ressens la pointe de mon beretta sur ton cou ? Ne t'inquiète pas je te laisse prier ton dieu. Je ne suis pas connard, je veux que tu te rapproche de lui pendant tes derniers moments. Je sais ce que c'est que de vouloir une rédemption à la dernière minute. Moi j'ai vu Dieu dans mes balles, et j'ai bu le sang du Christ dans une bouteille de vin. Alors pries pour nous deux. Je donne cette opportunité à chaque personne que je tue. Tu m'excuseras mais ce monde ne peut pas nous contenir nous deux. Alors meurs Et si jamais tu pars au Paradis, dis moi ce que tu penseras de l'enfer.

« Ceci est mon histoire. Je suis un psychopathe».